Quels sont les recours en cas de refus désolidarisation d'un prêt immobilier ?

La désolidarisation d'un prêt immobilier est une procédure qui peut s'avérer nécessaire dans diverses situations, notamment en cas de séparation ou de divorce. Cependant, il arrive que cette demande soit refusée par la banque ou l'établissement prêteur. Il existe alors des démarches à suivre. Il faut aussi connaitre les conséquences de cette procédure, ainsi que les alternatives possibles en cas de refus.

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Les recours en cas de refus de désolidarisation d'un prêt immobilier

La désolidarisation d'un prêt immobilier est souvent demandée lors d'une séparation ou d'un divorce. Elle permet à l'un des co-emprunteurs de se retirer du prêt, laissant l'autre seul responsable du remboursement. Cependant, les banques peuvent refuser cette demande. Voici alors les recours envisageables !

Négocier avec la banque

La première étape consiste à tenter de négocier avec l'établissement prêteur. Il est important de présenter un dossier solide démontrant la capacité du co-emprunteur restant à assumer seul le prêt. Des garanties supplémentaires, comme une caution, peuvent parfois convaincre la banque de reconsidérer sa position.

Faire appel au médiateur bancaire

En cas d'échec des négociations, il est possible de saisir le médiateur bancaire. Ce service gratuit peut intervenir pour trouver une solution amiable entre les parties. Bien que ses décisions ne soient pas contraignantes, elles sont souvent suivies par les banques.

Il peut notamment vous aider à faire comprendre à la banque des situations difficiles, comme lorsqu'un co-emprunteur ne peut plus faire face aux échéances du prêt. Les sommes restantes pourront alors être pris en charge par l'autre emprunteur. Le fait de proposer un repreneur unique peut ainsi permettre d'éviter les retards de paiement.

Recourir à la justice en cas de refus de désolidarisation par la banque

Si la médiation échoue, une action en justice peut être envisagée. Un avocat spécialisé pourra conseiller sur la meilleure stratégie à adopter. Il est possible de contester le refus de la banque devant le tribunal judiciaire, notamment si ce refus semble abusif ou non justifié.

Chercher des solutions alternatives

Parallèlement aux recours, d'autres options peuvent être explorées :

  • Le rachat de crédit par un autre établissement, plus enclin à accepter la désolidarisation.
  • La vente du bien immobilier pour rembourser le prêt, libérant ainsi les deux co-emprunteurs.
  • La mise en place d'un accord privé entre les ex-conjoints, l'un s'engageant à rembourser l'autre en cas de sollicitation par la banque.

Prévention et anticipation pour éviter les litiges liés à la désolidarisation

Pour éviter ces situations, il est recommandé d'anticiper lors de la souscription du prêt. L'inclusion de clauses de désolidarisation dans le contrat initial peut faciliter la procédure en cas de séparation future.

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Le principe de la désolidarisation

La désolidarisation d'un prêt immobilier consiste à retirer l'un des co-emprunteurs de l'engagement financier lié au crédit. Cette procédure est souvent demandée lors d'une séparation ou d'un divorce, lorsque l'un des emprunteurs ne souhaite plus être tenu responsable du remboursement du prêt.

Le principe de la désolidarisation repose sur la notion de solidarité entre les co-emprunteurs. Lorsque deux personnes contractent un prêt immobilier ensemble, elles sont solidairement responsables du remboursement. Cela signifie que la banque peut exiger le remboursement total du prêt à l'un ou l'autre des emprunteurs, indépendamment de leur situation personnelle.

La désolidarisation vise donc à mettre fin à cette responsabilité solidaire pour l'un des co-emprunteurs, le libérant ainsi de toute obligation envers la banque concernant le prêt en question.

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Comment se désolidariser d'un prêt ?

Il existe des démarches à suivre pour se désolidariser d'un prêt.

Comment faire pour ne plus être co-emprunteur ?

Pour ne plus être co-emprunteur, il est nécessaire d'entamer une procédure de désolidarisation. Voici les étapes à suivre :

  1. Informer la banque : La première étape consiste à informer l'établissement prêteur de votre souhait de vous désolidariser du prêt. Cette demande doit être faite par écrit, de préférence par lettre recommandée avec accusé de réception.
  2. Fournir les justificatifs : La banque vous demandera probablement de fournir des documents justifiant votre demande, tels qu'un jugement de divorce ou une convention de séparation.
  3. Évaluer la situation financière : La banque procédera à une analyse de la situation financière du co-emprunteur restant pour s'assurer qu'il est en mesure de rembourser seul le prêt.
  4. Négocier : Si la banque émet des réserves, il peut être nécessaire de négocier les conditions de la désolidarisation, comme la mise en place de garanties supplémentaires.
  5. Attendre l'accord de la banque : Si la banque accepte la désolidarisation, elle établira un avenant au contrat de prêt initial.

Comment retirer une personne d'un crédit immobilier ?

Le retrait d'une personne d'un crédit immobilier suit le même processus que la désolidarisation. Cependant, il est important de noter que cette démarche nécessite l'accord de toutes les parties impliquées : les deux co-emprunteurs et la banque.

Voici les étapes spécifiques pour retirer une personne d'un crédit immobilier :

  1. Accord mutuel : Les deux co-emprunteurs doivent s'accorder sur le retrait de l'un d'entre eux du prêt.
  2. Demande officielle : Une demande officielle doit être adressée à la banque, signée par les deux co-emprunteurs.
  3. Étude du dossier : La banque évaluera la capacité de remboursement de l'emprunteur restant.
  4. Modification du contrat : Si la banque accepte, un avenant au contrat de prêt sera rédigé pour officialiser le retrait de l'un des emprunteurs.
  5. Signature de l'avenant : Toutes les parties devront signer cet avenant pour finaliser la procédure.
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Qui doit payer les frais de désolidarisation ?

Les frais de désolidarisation peuvent varier en fonction de la banque et de la complexité du dossier. En général, ces frais comprennent :

  1. Frais de dossier : La banque peut facturer des frais pour l'étude et le traitement de la demande de désolidarisation.
  2. Frais d'avenant : Des frais peuvent être appliqués pour la rédaction de l'avenant au contrat de prêt.
  3. Frais de garantie : Si de nouvelles garanties sont nécessaires, des frais supplémentaires peuvent s'appliquer.
  4. Frais notariés : Dans certains cas, l'intervention d'un notaire peut être nécessaire, entraînant des frais supplémentaires.

Concernant la prise en charge de ces frais, il n'y a pas de règle universelle. Dans la plupart des cas, les frais sont partagés entre les co-emprunteurs, mais cela peut faire l'objet d'une négociation entre les parties. Il est recommandé de clarifier ce point dès le début de la procédure pour éviter tout malentendu.

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Quelles sont les conséquences de la désolidarisation ?

La désolidarisation d'un prêt immobilier entraîne plusieurs conséquences importantes :

Pour l'emprunteur désolidarisé :

  • Libération de la responsabilité du prêt : Il n'est plus tenu responsable du remboursement du prêt.
  • Perte des droits sur le bien : En contrepartie, il perd généralement ses droits sur le bien immobilier financé par le prêt.
  • Impact sur la capacité d'emprunt : La désolidarisation peut améliorer sa capacité à contracter un nouveau prêt pour un autre projet immobilier.

Pour l'emprunteur restant :

  • Responsabilité totale du prêt : Il devient seul responsable du remboursement de l'intégralité du prêt.
  • Charge financière accrue : La charge financière mensuelle peut devenir plus lourde pour l'emprunteur restant.
  • Nécessité de prouver sa solvabilité : Il devra démontrer à la banque sa capacité à assumer seul le remboursement du prêt.

Pour le bien immobilier :

  • Changement de propriété : Dans la plupart des cas, la désolidarisation s'accompagne d'un changement dans la propriété du bien, l'emprunteur désolidarisé cédant ses parts à l'emprunteur restant.
  • Réévaluation des garanties : La banque peut exiger de nouvelles garanties pour sécuriser le prêt.

Pour le contrat de prêt :

  • Modification du contrat : Un avenant au contrat initial sera rédigé pour refléter la nouvelle situation.
  • Possible renégociation des conditions : Dans certains cas, les conditions du prêt (taux, durée) peuvent être renégociées.
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Séparation de concubinage, divorce, vente de maison : quand demander une désolidarisation ?

La désolidarisation est souvent envisagée dans les situations suivantes :

  1. En cas de séparation entre concubins, la désolidarisation peut être demandée pour clarifier la situation financière de chacun. Il est recommandé d'entamer cette procédure dès que la séparation est effective et que les modalités de partage des biens ont été définies.
  2. Lors d'un divorce, la désolidarisation est fréquemment demandée dans le cadre du règlement des aspects financiers. Il est préférable d'attendre le jugement de divorce définitif avant d'entamer la procédure, car celui-ci peut contenir des dispositions concernant le prêt immobilier.
  3. Si les co-emprunteurs décident de vendre le bien immobilier, la désolidarisation peut être demandée au moment de la vente. Dans ce cas, le produit de la vente est généralement utilisé pour rembourser le prêt, ce qui simplifie la procédure de désolidarisation.
  4. Si l'un des co-emprunteurs connaît un changement important de sa situation financière (perte d'emploi, faillite, etc.), une désolidarisation peut être envisagée pour protéger l'autre emprunteur.
  5. Dans certains cas, même sans séparation formelle, des co-emprunteurs peuvent souhaiter se désolidariser en raison de désaccords ou de changements dans leur relation.
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La désolidarisation quand l'ex co-emprunteur veut conserver le bien

Dans certains cas, l'un des co-emprunteurs, qui peut être un ex-conjoint, peut souhaiter conserver le bien immobilier tout en se désolidarisant du prêt. Cette situation nécessite une approche spécifique :

  1. Rachat des parts ou rachat de soulte : L'emprunteur souhaitant conserver le bien devra racheter les parts de l'autre co-emprunteur. Cela implique généralement une évaluation du bien pour déterminer sa valeur actuelle.
  2. Refinancement : Il sera souvent nécessaire de refinancer le prêt pour permettre le rachat des parts. L'emprunteur restant devra démontrer sa capacité à assumer seul le nouveau prêt.
  3. Accord de la banque : La banque devra approuver cette nouvelle configuration. Elle évaluera la solvabilité de l'emprunteur restant et pourra exiger de nouvelles garanties.
  4. Modification du titre de propriété : Un acte notarié sera nécessaire pour modifier le titre de propriété et refléter le nouveau statut de propriétaire unique.
  5. Négociation des conditions : Les conditions du prêt (taux, durée, mensualités) pourront être renégociées dans le cadre de cette opération.
  6. Considérations fiscales : Il est important de prendre en compte les implications fiscales de cette opération, notamment en termes de droits de mutation et de plus-values éventuelles.
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Les autres cas de désolidarisation

Outre les situations de séparation ou de divorce, d'autres cas peuvent justifier une demande de désolidarisation :

  1. Décès d'un co-emprunteur : En cas de décès d'un des co-emprunteurs, une procédure similaire à la désolidarisation peut être nécessaire pour ajuster le contrat de prêt.
  2. Changement professionnel : Un changement significatif dans la situation professionnelle de l'un des co-emprunteurs (expatriation, création d'entreprise) peut motiver une demande de désolidarisation.
  3. Projet immobilier individuel : Si l'un des co-emprunteurs souhaite acquérir un bien immobilier séparément, la désolidarisation peut améliorer sa capacité d'emprunt.
  4. Réorganisation patrimoniale : Dans le cadre d'une stratégie de gestion de patrimoine, une désolidarisation peut être envisagée pour optimiser la situation fiscale ou successorale.
  5. Mésentente entre co-investisseurs : Dans le cas d'un investissement immobilier réalisé conjointement, des désaccords peuvent conduire à une demande de désolidarisation.
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Qu'est-ce qu'un acte de désolidarisation du notaire ?

L'acte de désolidarisation du notaire est un document officiel qui formalise la procédure de désolidarisation. Voici ses caractéristiques principales :

  1. Nature de l'acte : Il s'agit d'un acte authentique, rédigé par un notaire, qui a une valeur juridique importante.
  2. Contenu de l'acte : L’acte détaille les modalités de la désolidarisation, y compris l'identité des parties concernées, les caractéristiques du prêt initial, et les nouvelles dispositions suite à la désolidarisation.
  3. Modifications de propriété : Si la désolidarisation s'accompagne d'un changement dans la propriété du bien immobilier, l'acte en fera mention.
  4. Consentement des parties : L’acte requiert la signature de toutes les parties impliquées : les co-emprunteurs et un représentant de la banque.
  5. Enregistrement : L’acte est enregistré auprès des services fiscaux et peut être publié au bureau des hypothèques si nécessaire.
  6. Coût : Les frais de cet acte sont généralement à la charge des co-emprunteurs et peuvent varier selon la complexité de la situation.
  7. Valeur probante : Cet acte fait foi devant la loi et peut être utilisé comme preuve en cas de litige futur.
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Modèle lettre de désolidarisation

Voici un modèle de lettre qui peut être utilisé pour demander une désolidarisation à votre banque :

[Vos nom et adresse] [Nom et adresse de la banque] [Date]

Objet : Demande de désolidarisation du prêt immobilier n° [numéro du prêt]

Madame, Monsieur,

Par la présente, je soussigné(e) [votre nom], co-emprunteur avec [nom du co-emprunteur] du prêt immobilier n° [numéro du prêt] contracté le [date] pour un montant de [montant] euros, sollicite ma désolidarisation de ce prêt.

Cette demande fait suite à [motif de la demande : divorce, séparation, etc.]. Je vous prie de bien vouloir examiner ma demande et m'indiquer les démarches à suivre ainsi que les documents à fournir pour mener à bien cette procédure.

Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire ou document nécessaire à l'étude de ma demande.

Dans l'attente de votre réponse, je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées.

[Votre signature] [Votre nom]

Pièces jointes : [Liste des documents joints, par exemple : copie du jugement de divorce, convention de séparation avec l'ex-conjoint, etc.]

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Qu'advient-il de l'assurance emprunteur en se désolidarisant d'un prêt ?

La désolidarisation d'un prêt immobilier a également des implications sur l'assurance emprunteur associée. Voici les principaux points à considérer :

  1. Résiliation de l'assurance pour l'emprunteur sortant : L'assurance emprunteur de la personne qui se désolidarise du prêt sera résiliée. Cette personne n'aura plus à payer les primes d'assurance liées à ce prêt.
  2. Maintien de l'assurance pour l'emprunteur restant : L'emprunteur qui conserve le prêt devra maintenir une assurance emprunteur. Celle-ci pourra être modifiée pour refléter la nouvelle situation. Si c'est le même contrat pour les emprunteurs, le contrat sera résilié et un nouveau contrat sera mis en place pour l’emprunteur restant
  3. Révision des garanties : La banque pourra exiger une révision des garanties de l'assurance emprunteur pour s'assurer qu'elles couvrent adéquatement le risque lié au prêt désormais porté par un seul emprunteur.
  4. Possibilité de changement d'assurance : L'emprunteur restant peut profiter de cette occasion pour renégocier son assurance emprunteur ou changer d'assureur, conformément à la loi Lemoine.
  5. Adaptation des quotités : Si les co-emprunteurs avaient initialement des quotités d'assurance différentes, celles-ci devront être ajustées pour que l'emprunteur restant soit assuré à 100%.
  6. Nouvelles formalités médicales : Dans certains cas, l'assureur peut demander de nouvelles formalités médicales pour l'emprunteur restant, notamment si la désolidarisation intervient longtemps après la souscription initiale du prêt.
  7. Impact sur le coût de l'assurance : Le coût de l'assurance emprunteur pour l'emprunteur restant pourrait augmenter, car il devra assumer seul la couverture complète du prêt.
  8. Délai de carence : Attention, si une nouvelle assurance est souscrite, il peut y avoir un délai de carence avant que certaines garanties ne soient effectives.
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Quelles sont les alternatives à la désolidarisation pour un prêt solidaire en cas de séparation ?

Lorsque la désolidarisation n'est pas possible ou souhaitée, il existe plusieurs alternatives à considérer :

  1. Vente du bien immobilier : La solution la plus radicale consiste à vendre le bien immobilier. Le produit de la vente permet de rembourser le prêt en cours, mettant fin aux obligations des deux co-emprunteurs.
  2. Rachat de crédit : Un rachat de crédit peut permettre de restructurer la dette et potentiellement de modifier les conditions du prêt pour les adapter à la nouvelle situation des emprunteurs.
  3. Maintien du prêt avec accord amiable : Les co-emprunteurs peuvent convenir d'un accord amiable définissant la répartition des remboursements, tout en restant solidaires vis-à-vis de la banque.
  4. Location du bien : Si les co-emprunteurs ne souhaitent pas vendre le bien, ils peuvent envisager de le louer. Les revenus locatifs peuvent alors contribuer au remboursement du prêt.
  5. Renégociation du prêt : Une renégociation du prêt peut permettre d'obtenir des conditions plus favorables (taux d'intérêt, durée) facilitant le remboursement pour les deux parties.
  6. Donation ou cession de parts : Dans certains cas, l'un des co-emprunteurs peut faire donation de sa part du bien à l'autre, tout en restant co-emprunteur du prêt.
  7. Mise en place d'une SCI : La création d'une Société Civile Immobilière (SCI) peut offrir un cadre juridique permettant de gérer le bien et le prêt de manière plus flexible.
  8. Remboursement anticipé partiel : Si les finances le permettent, un remboursement anticipé partiel peut réduire la charge du prêt, facilitant son remboursement par un seul emprunteur.
  9. Médiation bancaire : En cas de difficultés avec la banque, le recours à un médiateur bancaire peut aider à trouver une solution acceptable pour toutes les parties.
  10. Procédure judiciaire : En dernier recours, une procédure judiciaire peut être envisagée pour trancher les désaccords concernant le prêt et le bien immobilier.

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